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J’ai écrit cette nouvelle littéraire et j’aimerais bien savoir si elle est cohérente et bien faite. Voici le texte :

Titre : L’amour maternel

Anita, infirmière et mère de trois enfants (un fils et deux filles) était triste et nostalgique. Depuis le départ de son fils, elle ne cessait de pleurer, en se remémorant des étapes importantes de sa naissance jusqu’à sa graduation universitaire. Comme d’habitude, elle pleurait amèrement, mais constata soudainement un éclat lumineux qui lui perçait dans les yeux.

 L’héroïne se leva et s’approcha lentement de la lumière, écoutant et ressentant chaque battement de son cœur rembruni. Pendant ce temps-là, il ne se produisait que le silence et de moindres mouvements de son corps. Plus elle se rapprochait, plus elle distinguait nettement un visage familier. Au bout d’un moment serein, elle réalisa que c’était son garçon ! 

La mère prît aussitôt la photo et l’analysa, comme si c’était la seule chose qu’elle voulait conserver pour le reste de sa vie. La personne se rappela du jour où elle avait capturé ce moment par photographie. C’était lors de la remise des diplômes de son chérubin. Le visage sur le portrait rayonnait tant de joie et de fierté qu’elle s’était mise à pleurer de gaieté et d’admiration.

Cependant, à mesure qu’elle scrutait la photo, cette mémoire lui revenait de nouveau. La dernière se ressouvint de l’heure où son fiston l’avait quitté. La tristesse et la nostalgie la submergèrent instantanément, et elle prît alors ses tranquillisants pour réduire son niveau d’angoisse et de manque.

Par la suite, la femme écouta ensuite la radio et remarqua que les nouvelles étaient heureusement devenues plus positives. Après l’accident qui était survenu à son enfant, tout s’était mal passé jusqu’à présent, comme les actualités que rapportaient les journaux qu’elle lisait quotidiennement.

Plongée dans ses profondes inquiétudes et ses souvenirs, la matrone entendit une clochette immédiate et bruyante, qui la fit sursauter. Elle ressentit tout à coup une grande accélération dans la vélocité de ses battements de cœur. Elle faillit avoir une crise cardiaque et perdre tout son souffle, mais la dame reprit sa respiration lorsqu’elle entendit la voix de son mari. Elle se précipita vers la porte et aperçut une expression étrangement jubilante de son homme, qui lui annonçait de bonnes nouvelles. 

Après un moment, l’infirmière se rendit avec son époux au centre de la ville de Montréal, un endroit rempli de gens qui animaient le quartier. Là, elle eut une belle surprise, ou en d’autres mots, la meilleure chose de sa vie. Son fils apparut et revenait d’une grande guerre (Seconde Guerre Mondiale) à laquelle il avait participé à cause de la mise en place d’une conscription morale par le gouvernement.