Liste de discussions
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Secondaire 1 • 3aBonjour ! J'aurais une question à propos les expansion du nom.
Lorsque je dit ; Moi, Pénélope, est en train de faire une randonnée dans une forêt enneigée.
Est-ce que le Pénélope est l'expansion de (type groupe nominal) Moi ?
Aussi, lorsque je dit ; Ils sont en train de parler pendant que je mange.
Le «pendant que je mange» est l'expansion ( Type groupe prépositionnel ) du «Ils sont en train de manger» n'est-ce pas ?
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Postsecondaire • 3aJe dois analyser un poème d’anna de noailles, mais je ne comprends pas la signification des 5 derniers vers. Voici le poème:
Quelquefois, quand le jour me cause trop de peine,
Je tourne mes regards vers une île lointaine,
Jardin géant, si haut, si puissant et si pur,
Qu'il semble être un ciel vert sous l'autre ciel d'azur ...
Que de brûlants parfums baigneraient mon visage !
Je ne pèserais pas à ce grand paysage,
J'éteindrais les palmiers et je vivrais contre eux
Comme une gomme d'or collée aux troncs rugueux.
A midi, quand le feu du soleil nous assaille,
Je me reposerais dans ma maison de paille ;
Sous des stores tressés par de charmants vanniers,
J'écouterais chanter les oiseaux prisonniers.
La nuit, jetant enfin l'éventail et les voiles,
Je boirais la fraîcheur de toutes les étoiles,
Et puis, sortant alors à pas lents et secrets,
Pour ne pas réveiller le chien, le perroquet,
Dans le vêtement bleu que portait Virginie,
J’irais dans la campagne assoupie, infinie,
Et je verrais, lueur, rayons, arômes mous,
Eclat par qui le coeur soudain s'élance et prie
Et croit mourir d'un choc si puissant et si doux,
L'aurore se lever sur la Vanillerie !
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Secondaire 1 • 3aSalut! j'ai des problèmes pour trouver le schéma narratif, pouvez-vous s'il vous plaît envoyer un site où ils expliquent le schéma narratif? Et comment le trouver ?
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Primaire 5 • 3aBonjour,
Est-ce qu'on écrit où son ses choses ou où sont ses choses ?
Également, quand j'écrit, elle prend deux vinier, est-ce que je dois mettre un s à vinier ?
Merci !
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Primaire 6 • 3aBonjour, je voulais juste savoir si vous aussi sa commence a bauger dans conjugo.
Moi je devais pratiquer mes verbes mais rendu a 4 mètre je n'arrivait plus a avancer.
Merci de me repondre vite
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Primaire 5 • 3aallo merci pour Làide en anglais pouver vous m'aider en francai
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Secondaire 4 • 3abonjour j'ai de la misère avec la concordance des temps de verbes, avez-vous des trucs?
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Secondaire 4 • 3aquelle est la différence entre le passé composé et le plus-que-parfait? comment choisir le bon temps de verbes entre ces deux dernières?
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Secondaire 4 • 3aquelle est la différence entre le futur simple et le conditionnel présent? comment choisir le bon temps de verbes entre ces deux dernières?
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Secondaire 4 • 3acomment savoir quel pronom personnel utiliser entre (lui, la, le, leur)?
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Secondaire 4 • 3abonjour, j'ai un examen d'écriture en français et j'ai de la misère à choisir la bonne préposition appropriée dans une phrase. avez-vous des trucs?
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Postsecondaire • 3aBonjour, je me demandais si les mots « à l’image de » dans une phrase représentaient une comparaison ou une métaphore?
merci!
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Primaire 5 • 3abonsoir j'ai un travail à rendre vendredi c'est un travail qui consiste à analyser la phrase suivante :merci!
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Postsecondaire • 3aBonjour. Est-ce que cette phrase “nous gênons si forts vos désirs lorsqu’ils volent trop loins” est une une allégorie ou une métaphore?
Merci
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Postsecondaire • 3aEst-ce qu'un prénom (Mathieu, Amélie, etc) peut être un pronom? Ou le nom dans un GN?
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Secondaire 5 • 3aJ'ai une lettre ouverte à faire sur un roman dont le personnage est un meurtrier sans pitié et la lettre porte si sa peine est justifiable (peine de mort) ma réponse est oui mais je ne sais pas comment élaborer ou même écrire ma lettre
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Secondaire 5 • 3abonjour je dois faire une lettre ouverte sur un livre pourriez vous me montrer un très bonne exemple de lettre ouverte par rapport à un livre merci
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Secondaire 1 • 3aBonjour, ou puis je trouver des textes pour me pratiquer aux exens de compréhension de texte. Merci sec 1
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Secondaire 2 • 3asalut le monde g rien compris a comment placer une virgule dans un txt et g un exam de mi année jeudi 9 décembre sur le recit policier envoyer moi des vds svp:))))))))) Gracias
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Primaire 6 • 3a+.bonjour.+
je cherche de bon jeux pour pratiquer mes mots de vocabulaires à pars magimot
Merci d'avance!
⁂ OursSage ⁂
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Postsecondaire • 3ac'est quoi les effets d'une mise en abyme littéraire?
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Secondaire 5 • 3aL’argent nécessaire pour se procurer un vélo. L’argent pour aller au cinéparc. L’argent pour construire un drone, acheter une boussole, un microscope. L’argent pour suivre des cours de voile et de kung-fu. L’argent pour partir à la conquête du monde.
Je me demande si il a une gradation et si oui c’est quoi l’effet de ce procédée stylistique. Je pesne qu’il y a une gradation, car les projet deveint de plus en plus gros, il passe de « L’argent nécessaire pour se procurer un vélo. » à « L’argent pour partir à la conquête du monde. ». Si il y a bien une gradation, je me demande comment l’effet de cette gradation ce relie au thème du voyage. (Je dois montrer le thème du voyage).
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Secondaire 1 • 4ac'est quoi la phrase subordonnée relative?
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Secondaire 5 • 4a"L’argent nécessaire pour se procurer un vélo. L’argent pour aller au cinéparc. L’argent pour construire un drone, acheter une boussole, un microscope. L’argent pour suivre des cours de voile et de kung-fu. L’argent pour partir à la conquête du monde."
Bonjour!! Je me demande c'est quoi l'effet du procéder stylistique, soit l'énumération (construire un drone, acheter une boussole, un microscope) dans cette citation. Et comment l'effet de cette énumération ce relie au thème du voyage (je dois montre le thème du voyage).
Merci beaucoup!!!!
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Primaire 5 • 4aBonjour,
J'ai de la difficulté à faire l'accord du verbe pourra être envisagé dans cette phrase.
exemple : Si jamais elle présentait une intolérance, une médication plus ou moins un Epipen pourra être envisagé.
Merci !
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Secondaire 5 • 4aDans la phrase -Je tenterai de vous expliquer-, comment on accorde le verbe expliquer si c'est le pronom je qui fait l'action?
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Secondaire 5 • 4aBon matin!
Est-ce que quelqu'un peut m'aider à trouver les figures de style ainsi que leur explication dans l'extrait de texte suivant :
L’homme était parti de Marchiennes vers deux heures. Il marchait d’un pas allongé, grelottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de velours. Un petit paquet, noué dans un mouchoir à carreaux, le gênait beaucoup ; et il le serrait contre ses flancs, tantôt d’un coude, tantôt de l’autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes que les lanières du vent d’est faisaient saigner. Une seule idée occupait sa tête vide d’ouvrier sans travail et sans gîte, l’espoir que le froid serait moins vif après le lever du jour. Depuis une heure, il avançait ainsi, lorsque, sur la gauche, à deux kilomètres de Montsou, il aperçut des feux rouges, trois brasiers brûlant au plein air, et comme suspendus. D’abord, il hésita, pris de crainte ; puis, il ne put résister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains.
Un chemin creux s’enfonçait. Tout disparut. L’homme avait à droite une palissade, quelque mur de grosses planches fermant une voie ferrée ; tandis qu’un talus d’herbe s’élevait à gauche, surmonté de pignons confus, d’une vision de village aux toitures basses et uniformes. Il fit environ deux cents pas. Brusquement, à un coude du chemin, les feux reparurent près de lui, sans qu’il comprît davantage comment ils brûlaient si haut dans le ciel mort, pareils à des lunes fumeuses. Mais, au ras du sol, un autre spectacle venait de l’arrêter. C’était une masse lourde, un tas écrasé de constructions, d’où se dressait la silhouette d’une cheminée d’usine ; de rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées, cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois noircis alignaient vaguement des profils de tréteaux gigantesques ; et, de cette apparition fantastique, noyée de nuit et de fumée, une seule voix montait, la respiration grosse et longue d’un échappement de vapeur, qu’on ne voyait point.
Alors, l’homme reconnut une fosse. Il fut repris de honte : à quoi bon ? il n’y aurait pas de travail. Au lieu de se diriger vers les bâtiments, il se risqua enfin à gravir le terril sur lequel brûlaient les trois feux de houille, dans des corbeilles de fonte, pour éclairer et réchauffer la besogne. Les ouvriers de la coupe à terre avaient dû travailler tard, on sortit encore les débris inutiles. Maintenant, il entendait les moulineurs pousser les trains sur les tréteaux, il distinguait des ombres vivantes culbutant les berlines, près de chaque feu.
— Bonjour, dit-il en s’approchant d’une des corbeilles.
Tournant le dos au brasier, le charretier était debout, un vieillard vêtu d’un tricot de laine violette, coiffé d’une casquette en poil de lapin ; pendant que son cheval, un gros cheval jaune, attendait, dans une immobilité de pierre, qu’on eût vidé les six berlines montées par lui.
Le manœuvre employé au culbuteur, un gaillard roux et efflanqué, ne se pressait guère, pesait sur le levier d’une main endormie. Et là-haut, le vent redoublait, une bise glaciale, dont les grandes haleines régulières passaient comme des coups de faux.
—Bonjour, répondit le vieux.
Un silence se fit. L’homme, qui se sentait regardé d’un œil méfiant, dit son nom tout de suite.
—Je me nomme Etienne Lantier, je suis machineur… Il n’y a pas de travail ici ?
Les flammes l’éclairaient, il devait avoir vingt et un ans, très brun, joli homme, l’air fort malgré ses membres menus.
Rassuré, le charretier hochait la tête.
—Du travail pour un machineur, non, non… Il s’en est encore présenté deux hier. Il n’y a rien.
Une rafale leur coupa la parole. Puis, Etienne demanda, en montrant le tas sombre des constructions, au pied du terril :
—C’est une fosse, n’est-ce pas ?
Le vieux, cette fois, ne put répondre. Un violent accès de toux l’étranglait. Enfin, il cracha, et son crachat, sur le sol empourpré, laissa une tache noire.
—Oui, une fosse, le Voreux… Moi, dit-il, je suis de Montsou, je m’appelle Bonnemort.
- C'est un surnom? demanda Étienne étonné.
Le vieux eut un ricanement d’aise, et montrant le Voreux :
—Oui, oui… On m’a retiré trois fois de là-dedans en morceaux, une fois avec tout le poil roussi, une autre avec de la terre jusque dans le gésier, la troisième avec le ventre gonflé d’eau comme une grenouille… Alors, quand ils ont vu que je ne voulais pas crever, ils m’ont appelé Bonnemort, pour rire.
Sa gaieté redoubla, un grincement de poulie mal graissée, qui finit par dégénérer en un accès terrible de toux. La corbeille de feu, maintenant, éclairait en plein sa grosse tête, aux cheveux blancs et rares, à la face plate, d’une pâleur livide, maculée de taches bleuâtres. Il était petit, le cou énorme, les mollets et les talons en dehors, avec de longs bras dont les mains carrées tombaient à ses genoux. Du reste, comme son cheval qui demeurait immobile sur les pieds, sans paraître souffrir du vent, il semblait en pierre, il n’avait l’air de se douter ni du froid ni des bourrasques sifflant à ses oreilles. Quand il eut toussé, la gorge arrachée par un raclement profond, il cracha au pied de la corbeille, et le terre noircit.
Etienne le regardait, regardait le sol qu’il tachait de la sorte.
—Il y a longtemps, reprit-il, que vous travaillez à la mine ?
Bonnemort ouvrit tout grand les deux bras
—Longtemps, ah ! oui !... Je n’avais pas huit ans, lorsque je suis descendu, tenez ! juste dans le Voreux, et j’en ai cinquante-huit, à cette heure. Calculez un peu… J’ai tout fait là-dedans, galibot, d’abord, puis herscheur, quand j’ai eu la force de rouler, puis haveur pendant dix-huit ans. Ensuite, à cause de mes sacrées jambes, ils m’ont mis de la coupe à terre, remblayeur, raccommodeur, jusqu’au moment où il leur a fallu me sortir du fond, parce que le médecin disait que j’allais y rester. Alors, il y a cinq années de cela, ils m’ont fait charretier… Hein ? c’est joli, cinquante ans de mine, dont quarante-cinq au fond !
Tandis qu’il parlait, des morceaux de houille enflammés, qui, par moments, tombaient de la corbeille, allumaient sa face blême d’un reflet sanglant.
—Ils me disent de me reposer, continua-t-il. Moi, je ne veux pas, ils me croient trop bête !... J’irai bien deux années, jusqu’à ma soixantaine, pour avoir la pension de cent quatre-vingts francs. Si je leur souhaitais le bonsoir aujourd’hui, ils m’accorderaient tout de suite celle de cent cinquante. Ils sont malins, les bougres !... D’ailleurs, je suis solide, à part les jambes. C’est, voyez-vous, l’eau qui m’est entrée sous la peau, à force d’être arrosé dans les tailles. Il y a des jours où je ne peux pas remuer une patte sans crier.
Une crise de toux l'interrompit encore.
- Et ça vous fait tousser aussi? dit Étienne.
Mais il répondit non de la tête, violemment. Puis quand il put parler:
- Non, non, je me suis enrhumé, l'autre mois. Jamais je ne toussais, à présent, je ne peux plus m'en débarrasser... Et le drôle, c'est que je crache, c'est que je crache...
Un raclement monta de sa gorge, il cracha noir.
- Est-ce que c'est du sang? demanda Étienne, osant enfin le questionner.
Lentement, Bonnemort s'essuyait la bouche d'un revers de la main.
C'est du charbon... J'en ai dans la carcasse de quoi me chauffer jusqu'à la fin de mes jours. Et voilà cinq ans que je ne me remets pas les pieds au fond. J'avais ça en magasin, paraît-il, sans même m'en doute. Bah! ça conserve!
Merci beaucoup!!!
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Secondaire 2 • 4aBonjour
Pourez-vous mexpliquer la difference entre la phrase de base et modifier
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Secondaire 5 • 4aBonsoir les profs ,
J’aimerais savoir dans cette phrase « elle l’a dévoré du regard »la partie de la phrase (dévoré du regard) est quelle figure de style?
Merci
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Primaire 4 • 4aQuelle est la construction des compléments du nom?
